« François Decq part, il y a quelques années, de cette abstraction qu’on disait lyrique. Le geste, croit-on, enfante la liberté. En fait, il éprouve un sentiment de plus en plus fort d’esclavage, comme s’il s’était laissé piéger par le monde tout fait de la nature.
Il va passer brusquement à l’abstraction géométrique. Le paradoxe n’est qu’apparent. C’est en se donnant un arsenal de règles impérieuses, en leur obéissant, qu’il va accéder à la liberté … »